Lienemann:
"retraites au choix, c'est selon que vous serez puissants ou misérables...
Stupidité"
Traduction: Mme
Lienemann parle sans doute des retraites des généraux (pour lesquelles ils
n'ont rien payé), comparées à celles des travailleurs lambda, que les complices
de Lienemann ont saignés à blanc. Evidemment, il y a plus de généraux en France
que dans l'armée mexicaine...
Lienemann:
"les fonctionnaires sont productifs. Parmi les principaux motifs d'investissements
en France: services publics"
Traduction:
Evidemment, si l'on vous donne quelque chose de gratuit, avec des exemptions
fiscales pendant 5 ans, pourquoi ne pas en profiter? Après 5 ans, l'entreprise
part ailleurs. Les fonctionnaires et le poids de l'Etat sont le principal
obstacle à l'investissement en France, et la cause principale des faillites,
des délocalisations et des expatriés. Une répétition de l'exode provoqué par la
Terreur.
Lienemann:
"tout le monde paie des impôts! Ce ne sont pas vos impôts, mais nos."
Traduction: Payer
vos impôts ne vous donne aucun droit. Notre gang s'est arrogé le droit de
dépenser plus de la moitié du prix de vos efforts, et ne vous donne aucun droit
de regard sur votre propre argent. La démocratie, dans sa caricature
socialiste, c'est donner aux uns le droit de dépenser l'argent des autres, et
surtout pas de donner à chacun de dépenser ses propres revenus.
Lienemann:
"il ne faut pas s'embourgeoiser! Les croissants c'est du luxe."
Traduction: toute
la filière qui produit des croissants doit être liquidée, et ces travailleurs
reconvertis dans la production de pains rassis. L'Etat décidera du nombre de
grammes de pain, de qualité unique, auquel chaque citoyen aura droit. Les
riches continueront à payer ce quignon au prix de leurs croissants, au nom de
la "justice" redistributive (c'est-à-dire le vol d'une minorité pour
acheter une majorité).
Lienemann:
"quand les grecs et les autres n'achèteront plus à l'Allemagne le prolo
allemand qui a déjà vu baisser son salaire trinquera"
Traduction: les
grecs ont acheté massivement à crédit pour dilapider leurs budgets en
"investissements" publics inutiles et en salaires pharamineux pour
les "services" publics. Il faut contraindre le travailleur allemand à
continuer à travailler sans être jamais payé. Le socialisme ce n'est pas
"travaillons tous comme des allemands", mais "dansons le sirtaki
et que les autres paient le joueur de bouzouki".
Voilà ce qui
arrive quand le seul livre que l'on ait jamais lu est "Das Kapital".
La France a été saignée à blanc par quarante ans d'alternance entre
collectivisme et colbertisme. La ruine est si proche qu'il est trop tard pour
essayer, pour la première fois, le libéralisme. La liberté restera un
"gazouillis" gravé aux frontons des repaires de fonctionnaires et de
politiques. En France, la liberté économique a toujours été un rêve
inaccessible.
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